Archives de l’auteur : AJEF

Appel des candidatures pour le prix Lorenzo Natali sur les reportages d’excellence sur le thème du développement

Présentez votre candidature pour le prix Lorenzo Natali qui récompense des travaux journalistiques d’excellence sur le thème du développement

 

Le prix média Lorenzo Natali décerné par la Commission européenne récompense les reportages d’excellence de journalistes sur des thématiques relatives au développement, telles que l’éradication de la pauvreté et les dimensions économique, sociale et environnementale du développement durable.

 

M. Neven Mimica, commissaire pour la coopération internationale et le développement, a déclaré à ce propos : «La grande majorité des habitants de ce monde vit dans des pays en développement. Nous sommes déterminés à ne laisser personne de côté. Nous voulons que chacun puisse avoir une vie sûre, saine et prospère. Il reste toutefois beaucoup à faire. Des réalités différentes coexistent à travers le monde et le rôle des médias est de nous ouvrir les yeux. Le prix média Lorenzo Natali est destiné aux journalistes qui éveillent nos consciences et nous incitent à agir pour un avenir meilleur.» 

 

Les candidatures sont désormais ouvertes, du 18 février au 14 avril, pour des travaux en ligne, imprimés et audiovisuels. Pour lire le communiqué de presse dans son intégralité cliquez ici [en anglais].

Cnis : statistiques publiques, mesures des disparités territoriales, programme 2019-2023, l’essentiel de l’assemblée du 31 janvier

Patrice Duran ouvre la séance en présentant à l’Assemblée ses vœux pour l’année 2019 et en insistant sur l’importance de cette assemblée plénière dans la vie du Cnis, puisqu’elle est l’occasion de se pencher sur son futur moyen terme, programme qui court sur les années 2019 à 2023.

 

Parmi les avancées marquantes du moyen terme qui s’achève, reprises dans le bilan 2014-2018, il retient préférentiellement le sujet de l’accès aux données, pour les chercheurs en particulier, qui a été étayé par deux rapports du Cnis, traitant respectivement de l’accès des chercheurs aux données administratives, publié en 2017 et de l’accès aux données bancaires et financières, publié en 2015, qui a notamment contribué à la mise en place de l’open data room de la Banque de France. Ces ouvertures méritent d’être soulignées et représentent un réel facteur d’attractivité pour la recherche et les travaux scientifiques.

 

La première séquence est consacrée à un exposé de Jean-Luc Tavernier, directeur général de l’Insee, sur le thème des inégalités, de la redistribution et du niveau de vie en France, à partir d’un diaporama présenté la semaine précédente à la commission des finances de l’Assemblée nationale et établi sur la base d’une compilation des productions de la statistique publique. En termes de revenu des ménages, si l’on considère les séries longues, le parallélisme constaté entre l’évolution du pouvoir d’achat et celle du produit intérieur brut (PiB) est ralenti depuis la crise de 2008. Le revenu disponible brut ramené respectivement à la personne, au ménage et à l’unité de consommation met en évidence le passage d’une croissance de ces indicateurs à une quasi stagnation, ce qui est un phénomène nouveau depuis l’après-guerre. L’observation des inégalités monétaires traduit le même phénomène. La progression des revenus avant la crise s’est transformée depuis en une stagnation sur la totalité des revenus. La variation sur longue période des revenus déclarés se caractérise en revanche par une grande stabilité, mais les données présentées, issues de sources administratives, peuvent masquer
d’éventuelles distorsions pour certains types de revenus, notamment pour les revenus du capital.

 

En termes de comparaison internationale des revenus disponibles par unité de compte, la France se situe dans le segment médian des pays de l’OCDE du point de vue des inégalités. Se caractérisant par un haut niveau de prélèvements obligatoires et une redistribution significative, elle apparaît dans le segment médian supérieur pour les inégalités en amont de la redistribution et dans le segment médian inférieur pour les inégalités en aval de cette redistribution. La redistribution s’appuie, en termes de prélèvements, sur la fiscalité directe qui est la principale contributrice en raison de sa progressivité, et en termes de prestations, principalement sur les prestations familiales, les aides au logement et la prime d’activité. Les mesures nouvelles relatives aux prélèvements et aux prestations sociales entre 2008 et 2016 ont contribué à une intensification de l’effet redistributif; ce qui a permis de réduire les inégalités plutôt que de les alourdir.

 

Les autres facteurs d’inégalité abordés sont la distribution du patrimoine brut, l’évolution du patrimoine financier et immobilier et la part des dépenses pré-engagées, estimées à 30 % pour l’ensemble de la population, mais avec des situations très hétérogènes, cette part étant estimée à 60 % du revenu de base pour les ménages les plus pauvres.

 

Enfin, en termes de disparités régionales, à partir de cartes et graphiques illustrant le niveau de vie et le bien-être ressenti, il ressort d’une part qu’en termes d’inégalités, les deux régions constituées par le pourtour languedocien du golfe du Lion et l’est de la région Hauts-de-France sont particulièrement marquées et, d’autre part qu’en termes de bien-être subjectif, les différences selon le lieu de résidence sont très faibles en moyenne.

 

La deuxième séquence fait l’objet d’une table ronde consacrée à la mesure des disparités territoriales. Mickael Cloux présente son expérience d’acteur local, au sein de l’observatoire des services publics de l’Allier, pour construire un schéma départemental d’amélioration de l’accessibilité des services au public (SDAASP). Après avoir posé le double constat d’une multiplicité d’observatoires existants, avec lesquels il est nécessaire que le projet s’articule, et de l’existence de bases de données qui restent obsolètes, incomplètes ou inexistantes, il fait part d’une expérience originale, consistant à s’appuyer sur les habitants du territoire pour constituer une base de données nouvelles, complétant les sources existantes, à partir de
leur utilisation quotidienne des services. Parallèlement à cette démarche participative, qui est perçue comme très positive, des difficultés demeurent, liées au manque d’interopérabilité entre les bases de données et au manque de données à l’échelle infra-départementale.

 

Olivier Léon, directeur adjoint de la direction régionale d’Île-de-France de l’Insee, présente les offres de la statistique publique pour mesurer les disparités régionales. Les sources présentes sur insee.fr, données et études, couvrent l’ensemble du territoire de manière homogène et permettent des comparaisons entre l’ensemble des territoires, du niveau national à infracommunal, pour certaines données.

 

Les principales sources sont :

le recensement de la population, la base permanente des équipements, la base FiloSofi qui permet de mesurer les inégalités de revenus, ainsi que des sources connexes (Clap, Sirene, Dads) permettant d’appréhender la question des économies locales.

 

Des comparaisons temporelles sont également possibles. Les activités de conseil et d’expertise offerts par l’Insee permettent de répondre, de façon rapide, à des sollicitations d’acteurs locaux, en mobilisant des matériaux statistiques au service d’une actualité ou d’une
politique publique en particulier. Une illustration de cette activité est la participation aux schémas régionaux de développement économique d’innovation et d’internationalisation (SRDEII), établi avec Régions de France.

 

La troisième offre de l’Insee concerne les études en partenariat, permettant de réaliser des études plus poussées dans l’analyse des territoires, en mobilisant des outils méthodologiques d’enrichissement de l’analyse des disparités territoriales. Pierre Philippe Combes, président de la commission Territoires, présente son point de vue de chercheur sur les enjeux de la mesure des inégalités territoriales. À partir du constat des grandes disparités mises en évidence par la répartition des revenus par unité de consommation en fonction de la localisation géographique, il indique que les cartes illustrant ces disparités ne tiennent pas compte du coût de la vie. Sa présentation porte précisément sur la correction du coût de la vie, en ce qui concerne les dépenses de logement . Auparavant, il fait remarquer que le niveau d’éducation localisé en fonction des différentes zones a tendance à croître avec la taille de l’agglomération et que la carte des revenus présentée est ainsi une composition de deux effets.

 

 

Le coût du logement est une composante importante du coût de la vie. Il varie sensiblement en fonction des zones géographiques et notamment en fonction de la taille des villes, sur la base d’une publication à paraître sur ce sujet. Bien que les habitants ajustent leur panier de consommation en termes de nombre de mètres-carrés dans les villes où les prix sont le plus élevés, la part du logement dans la consommation en fonction de la taille des villes varie de 8 % dans les petites villes à 40 % environ à Paris. Un modèle économétrique, permettant d’apprécier la façon dont les gains et les revenus nominaux croissent avec la taille de la ville met en évidence qu’un individu donné, qui se relocalise vers une ville plus grande voit son
revenu réel baisser. Cependant, ce constat est à rapprocher des gains dynamiques engendrés par ces relocalisations, en particulier la probabilité d’évoluer vers un meilleur emploi ainsi que la prise en compte des aménités locales à prendre en compte dans l’analyse du bien-être.

 

Enfin, la dernière séance a été consacrée à l’adoption par l’Assemblée, après discussion et amendements, des avis du nouveau moyen terme 2019-2024 qui lui avaient été soumis.
Cette discussion a été introduite par Cédric Afsa, en charge du moyen terme, qui a présenté les
éléments de contexte ayant présidé à l’élaboration de ces avis ; le développement de l’économie numérique, qui a pour effet la diffusion d’une très grande quantité d’informations et une exigence de rapidité dans la mise à disposition de l’information, la mondialisation des activités et des échanges, l’accroissement de la sensibilité de la société civile aux enjeux du développement durable.

 

La complexification du monde, qui résulte de ces trois éléments, nécessite pour le décrire de disposer de dispositifs d’observation plus complexes, qui doivent de plus être accompagnés dans les messages qu’ils délivrent, par une pédagogie accrue. Le recueil des attentes de ce moyen terme s’est appuyé sur les commissions et les utilisateurs de la statistique publique qui y participent, sur les conclusions des rapports des groupes de travail menés au cours des cinq années précédentes, sur les débats issus des colloques et rencontres organisés au cours
de l’année écoulée. Il a également intégré les réponses à une consultation en ligne sur le site du Cnis, invitant les répondants à citer les sujets considérés comme majeurs pour les années à venir.

 

Les résultats de cette consultation sont présentés sous la forme d’un nuage de mots représentant les sujets les plus fréquemment cités et parmi eux, l’emploi, les inégalités, le développement durable et les statistiques locales.

 

L’ensemble des consultations a conduit à l’élaboration de 8 avis généraux et 75 avis de commission. Quatre thèmes alimentent les avis généraux, qui ont pour vocation d’être « surplombants » par rapport aux avis des commissions : le développement durable, le numérique, les territoires et des aspects méthodologiques.

 

Enfin, le nombre des avis de commission a été limité, pour en assurer un suivi opérationnel au cours des cinq prochaines années. La rédaction en a été épurée : chaque avis est délibérément court et centré sur une problématique précise.

Mouvements et nominations en février 2019

Libération – liberation.fr

25 février – Régis Verbiguié est désormais responsable des médias numériques du quotidien  Libération. Il était auparavant éditeur numérique pour Le Figaro.

 

Le HuffPost

19 février – Louise Wessbecher est nommée rédactrice pour la culture, les médias et le divertissement sur le site d’informations Le HuffPost. Auparavant, elle était reporter pour le site web Mashable avec France 24.

 

Stratégies

12 février – Gilles Wybo est désormais directeur de la rédaction de l’hebdomadaire Stratégies. Il était auparavant rédacteur en chef de la publication, rôle qu’il conservera parallèlement à ses nouvelles responsabilités.

 

Le Monde – M

7 févrierGrégoire Biseau est nommé rédacteur en chef adjoint de M, le supplément hebdomadaire du quotidien Le Monde. Il était auparavant rédacteur pour le quotidien national Libération.

 

Pour ceux qui n’ont pas pu participer à l’atelier du 12 février sur le défi de la formation des adultes à l’emploi et aux entreprises du futur avec Stefano Scarpetta et Mark Keeze, retrouvez le rapport et le tableau de bord

 

Le lien vers le rapport Getting Skills Right : Future-Ready Adult Learning Systems 

 

http://www.oecd.org/employment/getting-skills-right-future-ready-adult-learning-systems-9789264311756-en.htm 

 

Vous trouverez dans ce rapport des notes pays pour l’Australie, l’Allemagne, la Corée, l’Espagne,la France, l’Italie, le Royaume-Uni.

 

Il est urgent, dans de nombreux pays de l’OCDE, de moderniser les systèmes de formation des adultes afin d’aider ces derniers à se préparer au monde du travail de demain, selon un nouveau rapport publié par l’OCDE.

 

Il ressort du rapport « Getting Skills Right: Future-Ready Adult Learning Systems » que les nouvelles technologies, la mondialisation et le vieillissement de la population vont faire évoluer la quantité et la qualité des emplois, ainsi que les compétences requises pour les exercer. Pour relever un tel défi, il sera essentiel de développer la formation des adultes.

 

Chaque année, deux adultes sur cinq seulement suivent une formation. Les adultes les plus défavorisés sont ceux qui sont le moins susceptibles de se former : les adultes peu qualifiés ont trois fois moins de chances de participer à une formation que les adultes hautement qualifiés (soit une probabilité de 20 % contre 58 %). D’autres groupes de population sont aussi désavantagés à cet égard, parmi lesquels les personnes plus âgées, les travailleurs à bas salaire, les travailleurs temporaires et les chômeurs.

 

 

 

Les analyses les plus récentes menées par l’OCDE donnent à penser que près d’un emploi sur sept risque d’être totalement automatisé, près de 30% des emplois pourraient subir des transformations. Toutefois, les personnes qui occupent les emplois les plus menacés se forment moins (40 %) que les travailleurs qui exercent un emploi peu menacé (59 %). Dans la zone OCDE, près de la moitié des adultes ne suivent aucune formation et ne souhaitent pas se former. 11 % supplémentaires souhaiteraient se former mais ne le font pas faute de temps, de moyens ou de soutien de la part de leur employeur.

 

Le rapport souligne l’importance d’une formation de qualité permettant de développer des compétences qui répondent aux besoins du marché du travail. La formation obligatoire, notamment en matière de santé et de sécurité au travail, absorbe en moyenne 20% des heures de formation dans les pays européens. Celle-ci  est nécessaire,  mais doit être complétée par d’autres possibilités de formation afin que les adultes puissent développer des compétences leur permettant de conserver leur emploi ou de rechercher de nouvelles opportunités de progression de carrière.

 

Un nouveau tableau de bord dans le rapport compare la situation entre les  pays  et met en évidence, pour chacun, les points les plus importants  pour  la réforme. En particulier, il résume l’avenir des systèmes d’apprentissage des adultes de chaque pays pour faire face aux défis d’un monde du travail en rapide évolution, dans six domaines : couverture, inclusion, flexibilité et orientation, alignement sur les besoins en compétences, impact et financement.

 

La Grèce, le Japon et la République slovaque obtiennent des résultats faibles dans la plupart des aspects de la préparation à l’avenir. Mais des améliorations sont possibles même dans les pays performants. En Norvège, relativement peu d’adultes voient un impact direct de la formation qu’ils suivent sur leur travail ou leur carrière. Le Danemark est à la traîne des pays les plus performants en termes de couverture. La Slovénie affiche de bonnes performances en termes d’inclusion, mais il existe encore un écart de 10 points de pourcentage en moyenne entre les groupes défavorisés et les groupes les plus favorisés.

 

Pour s’attaquer à ces problèmes, le rapport présente une série de recommandations, notamment :

 

·         Optimiser la couverture et l’inclusivité en mettant en avant les avantages de la formation des adultes et en proposant un soutien ciblé sur les adultes peu qualifiés, les chômeurs, les immigrés et les personnes plus âgées.

 

·         Aligner plus étroitement les contenus de formation sur les besoins du marché du travail, et élaborer des programmes ciblés sur les adultes dont les compétences devraient devenir obsolètes à l’avenir.

 

·         Améliorer la qualité et l’efficacité de la formation. Cela peut passer, par exemple, par la mise en place de labels de qualité afin d’aider les individus et les entreprises à faire des choix éclairés quant aux investissements à réaliser dans la formation.

 

·         Assurer un financement public adapté et inciter les employeurs à contribuer avec des prélèvements destinés à financer la formation et des incitations fiscales, et encourager les individus à suivre une formation au moyen de subventions et de congés de formation rémunérés.

Le bureau de l’Ajef se félicite de la nomination de Hervé Godechot (France Télévisions) au CSA

 

Le bureau de l’Association des Journalistes Economiques et Financiers (Ajef), dont Hervé Godechot était membre, perd un excellent confrère mais ne peut que se réjouir de cette nomination qui assurera une surveillance compétente et rigoureuse de la liberté d’expression des médias, en ces temps troublés par la montée en puissance des fake news, des complotismes en tous genres et des tentatives de désinformation.

Mardi 12 février à 12h45. Former les adultes aux défis de l’emploi et des entreprises du futur avec Stefano Scarpetta, Directeur Emploi, Travail, Affaires sociales et Mark Keeze , chef de division Compétences et Employabilité

Former les adultes aux défis de l’emploi et des entreprises du futur

Mardi 12 février 2019, 12h45*

à l’OCDE, 2 rue André Pascal, 75016 Paris

 

Les systèmes de formation pour adultes doivent s’adapter aux défis posés par les progrès technologiques, le vieillissement de la population et la globalisation. Certaines professions vont disparaître, de nouveaux types d’emplois vont être créés dans les entreprises, requérant de nouvelles compétences, notamment avec les nouvelles technologies. Ces changements, déjà en œuvre, créent plus que jamais un besoin de formation tout au long de la vie active.

 

Cet atelier présentera le rapport « Des systèmes de formation pour adultes prêts pour le futur », qui analyse des politiques mises en œuvre dans plusieurs pays de l’OCDE pour faire faces à ces défis (les comptes personnels de formation; des initiatives facilitant l’accès à la formation de groupes comme les travailleurs les plus âgés ou les moins qualifiés; des programmes spécifiques pour les PME etc..). L’atelier reviendra, notamment, sur la situation en France et présentera des propositions d’actions concrètes dans les pays de l’OCDE

 

Le rapport sera accompagné d’un tableau de bord qui compare les situations de la France et des autres pays de l’OCDE selon leur adaptabilité aux changements dans les besoins de compétences, en prenant en compte l’urgence à intervenir, la couverture, la diversité et la flexibilité des programmes de formation pour adultes, l’adéquation des actions de formation avec les besoins de compétences et leur impact.

 

 

Le rapport « Des systèmes de formation pour adultes prêts pour le futur » et le tableau de bord seront sous embargo jusqu’au mercredi 13 février à 11h

 

  

Avec Stefano Scarpetta, Directeur, Direction de l’emploi, du travail et des affaires sociales et Mark Keese, Chef de la division des compétences et de l’employabilité (OCDE).

 

 

* Une légère collation sera proposée à partir de 12h45, avant le début de l’atelier à 13h.

 

Les places étant limitées, nous vous demandons de bien vouloir vous inscrire auprès de stephanie.veron-demurard@oecd.org (01 45 24 84 68) dans les meilleurs délais. 

Le mardi 5 février de 8h30 à 10h avec le Directeur général de l’Insee, Jean-Luc Tavernier. 2018 s’est terminé par une embellie sur l’emploi, dans un contexte économique et social, français comme international, incertain . Que réserve 2019 ?

Chère adhérente, cher adhérent,
 
Vous êtes cordialement invités le :
 
 

Mardi 5 février de 8h30 à 10h

 

à un petit-déjeuner avec :
 

 

Jean-Luc Tavernier, directeur général de l’Insee

 

 
 

2018 s’est terminé par une embellie sur le front de l’emploi mais dans un contexte économique et social rempli d’incertitudes. Que réserve 2019 ? La Chine annonce le pire taux de croissance depuis une trentaine d’années, l’Allemagne revoit à la baisse la progression de son PIB pour cette année. La pression internationale va-t-elle avoir un impact sur l’activité française ?

 

Mardi 5 février 2019, le directeur général de l’Insee, Jean-Luc Tavernier, vient répondre aux questions des membres adhérents de l’Ajef. L’occasion, également, de faire le point après les critiques sur les méthodes de calcul de l’institut de la statistique, notamment en matière de pouvoir d’achat, au cœur de l’actualité.

 
 

 

Inscription obligatoire qui devra nous parvenir au plus tard le lundi 4 février à 11 h à l’adresse mail suivante : ajefassociation@gmail.com
 
ATTENTION :

Toute annulation ou absence non signalée, avant le lundi 4 février à 13 h, sera facturée automatiquement à l’inscrit non présent. (Les collations annulées sont malgré tout facturées par notre prestataire de service, ce qui représente une perte sèche pour l’association)

Participation :

Journalistes adhérents en rédaction : 25 euros

Journalistes adhérents freelance : 15 euros

Non adhérents : 50 euros

 

Merci de bien vouloir préparer à l’avance votre chèque ou l’appoint en espèces.

Mouvements et nominations en janvier 2019

Nominations à l’AFP :

 

Sophie Huet est nommée rédactrice en chef centrale de l’AFP.

 

Jean-Luc Bardet lui succède comme adjoint au directeur de l’information. Il cumulera cette responsabilité avec sa fonction actuelle de directeur France. Ils prendront leurs nouvelles fonctions le 4 février.

 

Phil Chetwynd est nommé directeur de l’Information.

 

 

 

 

L’AJIS (Association des Journalistes de l’Information Sociale) a élu son nouveau bureau

Le nouveau comité directeur de l’AJIS, élu lors de l’assemblée générale du mercredi 23 janvier, a
élu, à son tour, le nouveau bureau de l’association.

 

Le bureau de l’AJIS est désormais composé de :

Présidente : Bénédicte Foucher (AEFinfo)
Vice-président : Alain Ruello (Les Echos)
Secrétaire générale : Elodie Bécu (Quotidiens régionaux du Groupe EBRA)
Secrétaire général adjoint : Jérôme Citron (Syndicalisme Hebdo / CFDT Magazine)
Trésorière : Alexia Eychenne (Journaliste pigiste)
Trésorière adjointe : Caroline Laires Tavares (Protection sociale Informations – PSI)

 

Le mandat du bureau est d’une année. Les activités de l’AJIS sont organisées par un comité directeur de 15 membres.

 

A propos de l’AJIS

L’AJIS est une association, fondée en 1967, qui compte aujourd’hui 300 journalistes adhérents et
100 membres partenaires. Son principal objectif est de favoriser la production d’une information sociale de qualité ainsi que l’égal accès des journalistes aux sources.

Le cabinet d’avocats d’affaires Jeantet (membre du Club de l’Ajef) change sa gouvernance et renouvelle ses organes de direction

Catherine Saint Geniest et Karl Hepp de Sevelinges sont nommés co-managing partners pour un mandat de 3 ans au sein du nouveau « comité exécutif » qui remplace le conseil de gérance.

 

 

Il sera soutenu au quotidien par une secrétaire générale, nommée à l’automne dernier. Catherine Saint Geniest et Karl Hepp de Sevelinges succèdent ainsi à Lorraine Donnedieu de Vabres, Thierry Brun et à Philippe Portier, qui avaient dirigé le Cabinet pendant plusieurs mandats successifs.

 

Jeantet a également élu un Conseil des Associés en charge de la réflexion stratégique et des relations entre associés, composé de 6 membres : Thierry Brun, Yvon Dréano, David Lasfargue, Philippe Matignon, Martine Samuelian et Patrick Thiebart.

 

Associés « issus de la croissance externe », les deux nouveaux dirigeants se fixent pour feuille de route de poursuivre la vision, maintenir et renforcer les piliers qui font la réussite de JEANTET depuis presque 100 ans : indépendance, international et influence.

 

Avec une clientèle composée majoritairement de groupes français de premier plan, d’entreprises et groupes familiaux mais également de sociétés étrangères et internationales (50 % de son chiffre d’affaires en 2018 provient de dossiers transnationaux), JEANTET souhaite maintenir une identité forte sur un marché où l’indépendance est un atout face à l’émergence de réglementations extraterritoriales, mais également confirmer sa position de référent auprès d’une clientèle internationale exigeante, et notamment dans les zones d’intervention du cabinet : Etats francophones, Europe de l’Est et Afrique.

 

« C’est un nouveau chapitre qui s’ouvre pour le cabinet, dans la continuité de 5 générations d’avocats qui ont dirigé le cabinet, mais dans un esprit d’ouverture, afin d’explorer de nouvelles voies et tirer parti de nouvelles opportunités. Pour la première fois de son histoire, le cabinet sera, en effet, dirigé par des associés issus de la croissance externe. Karl et moi remercions l’équipe de management sortante, qui a su non seulement pérenniser le cabinet et qui ont su également « passer la main », preuve de confiance essentielle, dont nous remercions également l’ensemble des associés », précise Catherine Saint Geniest.

 

Au-delà de son expertise forte et historique sur les dossiers « corporate », JEANTET a été le premier cabinet d’avocats français (en 2011) à créer, fort notamment de son expertise multidécennale en droit économique, une activité en affaires publiques et lobbying. Il est le premier à s’être positionné, dès 2015, sur le marché de l’économie digitale via son offre et webzine DigitLegal. Ces deux offres, auxquelles s’ajoute depuis 2017 celles de son équipe multidisciplinaire en Compliance, répondent à de nouveaux enjeux tels que l’hyper-régulation des secteurs économiques ou encore l’hyper-mobilité d’un nouveau secteur économique. JEANTET va donc intensifier son positionnement dans ces domaines et développer de nouvelles expertises. Le cabinet n’exclut pas l’arrivée prochaine d’équipes externes. 

 

« JEANTET a créé son succès grâce à son esprit pionnier. Pour mémoire, il a été le premier cabinet d’avocats à se positionner dans l’accompagnement de sociétés étrangères, mais également en matière de droit économique. Cette posture nous conduit à toujours innover, à être en capacité de répondre à des problématiques nouvelles, mais également, à anticiper et développer une démarche prospective pour nos clients », indique Karl Hepp de Sevelinges.

 

« La transition managériale est un exercice à la fois essentiel et complexe ; essentiel car la pérennité l’impose ; complexe car éminemment symbolique, et donc sensible. Notre capacité historique à non seulement nous adapter aux attentes de notre marché, de nos clients, mais également à nous transformer pour durer, s’incarne à nouveau à cette occasion. Je suis heureux d’avoir contribué, avec mes co-gérants, pendant 18 ans à cette tradition ; mais plus heureux encore de passer le témoin à ces nouvelles équipes, dans le cadre d’une gouvernance adaptée aux exigences contemporaines, séparant gestion du cabinet stricto sensu et orientation stratégique », se félicite pour sa part Philippe Portier, manager sortant.

 

A propos de Catherine Saint Geniest

Précédemment associée du cabinet Orrick Rambaud Martel, Catherine Saint Geniest bénéficie une expertise reconnue en droit de l’immobilier. Au sein du cabinet Jeantet, Catherine Saint Geniest a pour mission, de développer le pôle immobilier et d’accompagner l’équipe fusions & acquisitions pour les aspects immobiliers et l’audit juridique de ce type d’opérations. Catherine Saint Geniest fut membre du Conseil de l’Ordre de Paris de 2010 à 2012. Elle a rejoint en 2013 le cabinet Jeantet.

 

A propos de Karl Hepp de Sevelinges

Avocat inscrit aux barreaux de Paris ,Francfort et de New York, Karl Hepp de Sevelinges intervient depuis plus de 20 ans dans le cadre de projets d’investissements transfrontaliers principalement en France et en Allemagne. Il dispose également d’une pratique reconnue en Europe de l’Est. Il a été associé du Cabinet Gide Loyrette Nouel et était à la tête de son bureau de New York avant de rejoindre en 2015 le cabinet Jeantet.

 

A propos de Thierry Brun

Thierry Brun est un spécialiste reconnu des fusions-acquisitions, des joint-ventures et des restructurations d’entreprises. Son activité, multisectorielle, est essentiellement axée sur des opérations à dimension internationale pour une clientèle sophistiquée d’entreprises et de fonds d’investissement, français ou étrangers, qu’il accompagne dans leurs stratégies de croissance et/ou de restructuration, tant en France qu’à l’étranger. Il gère également contentieux et arbitrages stratégiques se rapportant à ses domaines de spécialités. Il rejoint Jeantet en 2001. Il a été membre du conseil de gérance de 2012 à 2018.

 

A propos de Yvon Dréano

Yvon Dréano assiste des clients français et étrangers, entreprises industrielles et fonds d’investissement dans leurs opérations de fusions-acquisitions et de restructurations complexes. Il intervient également sur des alliances stratégiques ou joint-ventures, des opérations sur sociétés cotées et sur des questions de gouvernance. Son expertise inclut également le contentieux judiciaire et arbitral des opérations de haut de bilan. Il a été membre du conseil de gérance de 2001 à 2012 et membre du conseil des associés depuis 2014.

 

A propos de David Lasfargue

David Lasfargue est responsable du bureau de Moscou de Jeantet depuis Mai 2016. Il conseille depuis plus de quinze ans de très nombreux investisseurs internationaux, en particulier français, dans le cadre de leur implantation et de leurs opérations en Russie et dans les pays de la CEI. A propos de Philippe Matignon Philippe Matignon est spécialisé en fusions – acquisitions, et plus particulièrement en Private Equity et Capital Investissement. Il conseille des fonds d’investissement, français et étrangers, dans l’ensemble de leurs opérations de LBO et de capital investissement. Philippe conseille également des équipes de managers dans le cadre de ces opérations, ainsi que dans des opérations corporate de haut de bilan et restructuration de groupes. Philippe Matignon intervient également dans le cadre d’opérations de restructurations ou de jointventures, pour le compte d’acteurs industriels.

 

A propos de Martine Samuelian

Martine Samuelian intervient dans le domaine des services bancaires, boursiers et en contentieux financier (juridictions judiciaires civiles et pénales ou autorités administratives indépendantes telles que les Commissions des Sanctions de l’AMF, de l’ACPR et la BCE). Cette spécialiste du regulatory anime une solide équipe dédiée à ces domaines et accompagne depuis plus de 30 ans les banques, les entreprises d’investissement, les sociétés de gestion de portefeuille et les compagnies d’assurance ainsi que leurs dirigeants, notamment en matière de réglementation applicable, en ce compris la gouvernance. Elle est membre du conseil des associés depuis 2014.

 

A propos de Patrick Thiebart

Patrick Thiébart conseille des sociétés à dimension internationale sur des problématiques relatives au droit social et aux ressources humaines d’une grande variété. Il assiste des entreprises en matière de contentieux de droit du travail – en particulier en cas de contentieux de masse.