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Jeudi 12 octobre avec Pierre Gattaz, président du Medef. Après la réforme du Code du Travail, comment enclencher les créations d’emplois ? Quels points de rupture possibles avec le pouvoir politique ?

« La réforme du Code du Travail redonne confiance », déclarait Pierre Gattaz début septembre.
Quelques semaines et ordonnances plus tard, la question est de savoir comment enclencher l’étape suivante : la création d’emplois. Qui plus est dans un contexte de mutation du travail.

Face aux nouvelles formes de travail et l’émergence de travailleurs « nouveaux », la ministre en charge du dossier, Muriel Pénicaud, appelle à des négociations interprofessionnelles. Dans quel état d’esprit le représentant des patrons accueille-t-il cette proposition ? Par ailleurs, quid de la transformation du CICE en baisses de charges ? Avantage ou, finalement, inconvénient pour les entreprises ?

Enfin, Pierre Gattaz laissera son siège de président du Medef en juillet prochain. La campagne électorale n’a pas encore commencé mais, en interne, le sujet échauffe déjà les esprits. Les derniers mois vont-ils être mis à profit pour accentuer la pression sur le pouvoir politique ? Quel pourrait être le point de rupture avec un chef de l’Etat, jusqu’alors plutôt ménagé par le patron des patrons ?

Inscription obligatoire qui devra nous parvenir au plus tard le
mardi 10 octobre à 12h à l’adresse mail suivante : ajefassociation@gmail.com

ATTENTION : Toute annulation ou absence non signalée, avant le mardi 10 octobre à 15h, sera facturée automatiquement à l’inscrit non présent. (Les collations annulées sont malgré tout facturées par notre prestataire de service, ce qui représente une perte sèche pour l’association)

Participation :

Journalistes adhérents en rédaction : 25 euros
Journalistes adhérents freelance : 15 euros
Non adhérents : 50 euros

Merci de bien vouloir préparer à l’avance votre chèque ou l’appoint en espèces.

Le 5 octobre prochain : 23e conférence annuelle de l’IDEI et remise du prix Jean-Jacques Laffont 2017

Jean -Luc Moudenc, Maire de Toulouse, Président de Toulouse Métropole & Jean Tirole, Directeur Scientifique de l’IDEI,

ont le plaisir de vous convier à la 23ème Conférence Annuelle de l’IDEI
et à la remise du Prix Jean-Jacques Laffont 2017 attribué à Ariel Pakes

PROGRAMME du 5 octobre 2017

  • 16h00

Conférence de Ariel Pakes sur le thème :

Prix et productivité : Des choix de l’entreprise aux résultats du marché

Amphi MB-2, Manufacture des Tabacs,

21 allée de Brienne, Toulouse.

L’orateur s’exprimera en anglais. Traduction simultanée assurée.

  • 18h00

Remise du Prix Jean-Jacques Laffont à Ariel PAKES par Jean-Luc Moudenc, Maire de Toulouse, Président de Toulouse Métropole, à l’Hôtel de Ville, Salle des Illustres, Place du Capitole, Toulouse.

  • 19h00

Cocktail offert par la Ville de Toulouse

Inscription

Retrouvez le compte-rendu du petit déjeuner AJEF avec le président du directoire de Vallourec, Philippe Crouzet : « Nous restons en phase d’ajustement permanent » . Le pari de Vallourec : les Etats-Unis, le Brésil, et la Chine. Le secteur pétrolier retrouve « une certaine dynamique ».

            Philippe Crouzet, président du directoire de Vallourec

. « Nous restons en phase d’ajustement permanent »

.  Le pari de Vallourec: Les Etats-Unis où le moteur pétrolier « est reparti à fond », le Brésil où Petrobras n’a plus le monopole et la Chine « assoiffée d’énergie »

. Le secteur pétrolier retrouve « une certaine dynamique »

   Malmené depuis trois ans par les conséquences de la grave crise que vivent l’industrie pétrolière et gazière, notamment par le niveau peu élevé du cours du brut, Vallourec commence à engranger les bénéfices du plan de restructuration lancé en février 2016, mais le groupe, demeure « en phase d’ajustement permanent », a indiqué son président du directoire, Philippe Crouzet. Leader mondial pour la fabrication de solutions tubulaires, à savoir des tubes sans soudure destinés aux secteurs de  l’énergie et de l’industrie, l’entreprise a pour objectif d’économiser 750 millions d’euros à l’horizon 2020. Elle poursuit un programme d’allègement de coûts qui lui a permis d’afficher un résultat positif pour le second trimestre de l’exercice en cours, poursuivant, en parallèle, des acquisitions permettant de conforter sa rentabilité. Tel le récent rachat d’une société chinoise qui produit 600 000 tubes par an, « à moindre coût qu’en France mais pas à moindre qualité », explique Philippe Crouzet, aux commandes du groupe depuis 2009 après un long passage chez Saint-Gobain. Vallourec, qui réalise un chiffre d’affaires annuel de 3,6 milliards d’euros avec environ 19 000 collaborateurs répartis dans une vingtaine de pays, a procédé à 800 suppressions de postes en France, autant en Allemagne et 150 en Grande-Bretagne.

   Pour ce qui est de l’avenir de l’or noir, Philippe Crouzet considère qu’après avoir grimpé jusqu’à 100 dollars le baril avant de chuter à 30 dollars, sa stabilisation actuelle autour de 45/55 dollars est le signe que le marché retrouve « une certaine dynamique ».  Mais, ajoute-t-il, on constate la persistance d’un déséquilibre entre l’offre et la demande sur le marché pétrolier, dû davantage à l’offre alors que la demande continue de croître de 1,5% par an, ce qui correspond à peu près à 1,5 million de barils/jour en plus. La bonne nouvelle vient surtout des Etats-Unis, portée par l’essor du gaz et des huiles de schiste, un marché éclaté entre quelques 2000 acteurs, y compris les « majors » bien sûr. Le secteur pétrolier américain est « un moteur reparti à fond », assure-t-il, ainsi qu’en témoigne le nombre de forages en opération qui demeure autour de 950 alors qu’il avait chuté jusqu’à 400, son point le plus bas, en avril 2016. Encore loin, toutefois, des 1800 forages en opération comptabilisés en 2014. Mais de quoi conforter le pari fait par Vallourec sur les Etats-Unis, le Brésil – indépendamment des aléas politiques du pays « le pire est derrière nous » avec l’ouverture de Petrobras qui ne détient plus de monopole- mais aussi de la Chine, « assoiffée d’énergie » et devenue le plus gros consommateur de pétrole au monde.

   Interrogé sur la transition énergétique dans laquelle s’est engagée la communauté internationale après la COP21 de décembre 2015 à Paris, suivie de la COP22 qui s’est tenue à Marrakech un an plus tard, le président du directoire de Vallourec souscrit aux prévisions de l’Agence internationale de l’énergie (AIE). Celles-ci anticipent certes une part croissante des énergies renouvelables dans le « mix énergétique », passant de 19% en 2014, à 25% ou 35% en 2035, mais elles tablent aussi sur le maintien d’une place prépondérante, même diminuée, pour les énergies fossiles. La consommation de charbon, l’énergie la plus polluante, devrait être réduite de 29% actuellement à 16% en 2035 mais la part confondue du pétrole et du gaz devrait simplement baisser de 52% à 48% à l’horizon 2035. A l’intérieur de ce volet, la part du gaz augmenterait même, passant d’environ 21% de nos jours à 25% en 2035, celle du pétrole baissant de 31% à 24% dans une vingtaine d’années. Une évolution qui ira de pair avec le « repositionnement géographique » en cours de la part des acteurs du marché pétrolier, parmi lesquels les Etats-Unis jouent à présent un rôle essentiel, tandis que, du côté des cours du brut, la volonté affichée des pays de l’OPEP de retrouver son rôle initial de cartel afin de réguler les prix mondiaux, contribue à stabiliser un marché jusqu’ici fortement perturbé.

S.M.

Mercredi 13 septembre (8h30) – Petit-déjeuner avec Philippe Crouzet, président du directoire de Vallourec, spécialiste français et leader international des tubes sans soudure.

L’Ajef vous convie à un petit-déjeuner avec :

Philippe Crouzet
Président du directoire de Vallourec

Le mercredi 13 septembre à 8h30 précises.

au Procope – 13, rue de l’Ancienne Comédie – 75006 Paris

Vallourec est le spécialiste français, leader international, des tubes sans soudure. Il fabrique des tubes en acier et des solutions tubulaires spécifiques destinées principalement aux marchés de l’énergie, au secteur de l’industrie mécanique et automobile.  L’activité du groupe est dépendante des cycles du pétrole et du gaz, des questions énergétiques en général. Son patron est donc un observateur privilégié du monde en pleine mutation.

La stratégie bas carbone adoptée par un nombre croissant de pays et la géopolitique jouent un rôle important dans le périmètre industriel de Vallourec. Quelles perspectives pour les marchés pétrolier et gazier ? Quelle réaction face à l’émergence de l’éolien ? Quelles mutations pour le groupe ?

La crise pétrolière est-elle une opportunité de profonde transformation pour Vallourec ? Philippe Crouzet expliquera, notamment, sa stratégie pour explorer de nouveaux territoires et développer son plan de diversification.

Inscription obligatoire qui devra nous parvenir au plus tard le lundi 11 septembre à 12h à l’adresse mail suivante : ajefassociation@gmail.com

ATTENTION : Toute annulation ou absence non signalée, avant le lundi 11 septembre à 14h, sera facturée automatiquement à l’inscrit non présent. (Les collations annulées sont malgré tout facturées par notre prestataire de service, ce qui représente une perte sèche pour l’association)

Tarification

Participation : Journalistes adhérents en rédaction : 25 euros – Journalistes adhérents freelance : 15 euros. Non adhérents : 50 euros.
Merci de bien vouloir préparer à l’avance votre chèque ou l’appoint en espèces.

 

« Comment l’Etat gère-t-il sa dette ? », le 15 septembre de 9 heures à 10h30. Avec Anthony Requin, directeur général de l’Agence France Trésor.

Petit déjeuner organisé par l’AJEF et le SIRCOM du ministère de l’Economie

Vendredi 15 septembre 2017, 9h – 10h30.

Atelier-débat sur le thème « Comment l’Etat gère-t-il sa dette ? » , avec Anthony Requin, directeur général de l’Agence France Trésor.

Comment s’organise une adjudication d’emprunts  d’Etat ?  Quels sont les arguments pour  convaincre les investisseurs ? Quel est l’impact d’une variation de taux sur la charge d’intérêt ? A quelques jours de la présentation du projet  loi de finances 2018  et alors que le montant de la dette négociable dépasse les 1 680 milliards d’euros,  Anthony Requin, directeur général de l’Agence France Trésor  abordera toutes ces questions en OFF à l’occasion de ce nouvel  atelier de Bercy et échangera avec les participants  à l’issue de sa présentation.     

Débats animés par Philippe PLASSART
> > Rédacteur en chef au Nouvel Economiste et membre du bureau de l’AJEF

Agence France Trésor

Bâtiment Colbert – Ascenseurs Pile 6

9ème étage – Salle 9284M

139 rue de Bercy

75012 Paris

Selon la règle de « Chatham House, « les informations peuvent être utilisées sans être « sourcées », autrement dit sans les attribuer à leur auteur ou à son administration.

 

> >  Inscriptions obligatoires auprès de :
Christophe AUDURAUD-CLEMENT

01 53 18  88 10 / 06 72 66 87 67

Exclusivement réservé aux journalistes et aux étudiants en journalisme. Attention, les places sont limitées compte tenu de la salle.

Création de l’Académie Notre Europe – Institut Jacques Delors

L’Institut Jacques Delors, le think tank européen fondé en 1996 par l’ancien Président de la Commission européenne et présidé par Enrico Letta, doyen de l’École des affaires internationales de Sciences Po et ancien Premier Ministre italien, crée l’Académie Notre Europe – Institut Jacques Delors.

L’Académie est un lieu de formation, d’échange et de partage de connaissances sur les politiques européennes. Son ambition est de mettre à disposition de jeunes et de professionnels, l’expertise sur les sujets européens et le vaste réseau d’experts et de décideurs de haut niveau que l’Institut Jacques Delors développe depuis plus de 20 ans.
Ce projet entre dans les missions d’information et de formation tout au long de la vie chères au Président fondateur de l’Institut.

En cette première année l’Académie s’adresse à deux publics et s’ouvrira à d’autres dans les années à venir. La formation pour l’année 2017/2018 est réservée :
1. Aux journalistes non-initiés aux affaires européennes, qui auront accès à des échanges avec des experts et des protagonistes de la construction européenne grâce à des modules conçus à cet effet.
2. Aux jeunes entre 18 et 26 ans qui bénéficieront gratuitement des cours avec des intervenants de très haut niveau.

C’est au travers de rencontres avec des experts des affaires européennes et des décideurs, ainsi que de voyages à Bruxelles, Strasbourg, Rome ou Berlin, que les participants de l’Académie Notre Europe – Institut Jacques Delors pourront acquérir une connaissance plus aiguë et débattre de la construction européenne et de son avenir tout en tissant des liens pérennes entre eux.

« Un vent nouveau souffle sur l’Europe et nous sommes déterminés à mettre toute notre énergie, nos connaissances et notre influence au service de ce momentum qui s’annonce positif pour l’UE » – explique Enrico Letta, initiateur du projet. « L’élection d’Emmanuel Macron, dont la campagne résolument pro-européenne a été une nouveauté et une réussite, a profondément renouvelé la politique française. Nous souhaitons accompagner ce renouveau et contribuer à la formation d’une nouvelle classe dirigeante pro-européenne, préparée et capable de faire face à la complexité des défis que traverse l’Europe. Une classe dirigeante jeune, avec des idées novatrices et l’enthousiasme nécessaire pour refonder le projet européen ».

Parmi les intervenants de l’Académie on retrouve d’anciens Commissaires européens, des dirigeants d’organisations internationales ainsi que des anciens ministres ou des décideurs européens et nationaux de haut niveau.

Pour sa première année l’Académie accueillera un groupe d’environ 20 journalistes et 20 jeunes.
Les candidatures peuvent être soumises via un formulaire sur www.academienotreeurope.eu du 12 juillet 2017 jusqu’au 10 septembre 2017. La formation se tiendra d’octobre 2017 à mai 2018.

Le cursus adressé aux jeunes de 18 à 26 ans aura lieu à raison d’un vendredi par mois dans les locaux de l’Institut Jacques Delors à Paris.
Les modules réservés aux journalistes seront d’une durée de 4 heures un vendredi par mois dans les mêmes locaux.

Décryptage du Panorama 2017 des administrations publiques, mardi 12 juillet : atouts et points faibles de la France comparés aux autres pays avancés. Avec Rolf Alter, Directeur de la gouvernance publique et Guillaume Lafortune, économiste dans la division de la réforme du secteur public.

Les performances des administrations publiques : comment se situe la France parmi les pays avancés?

Mercredi 12 juillet 2017, 12h30 *

à l’OCDE, 2 rue André Pascal, 75016 Paris

Avec quelle gouvernance et quelles administrations publiques la France peut-elle espérer se donner le « nouvel élan » promis par le gouvernement? Quels sont les leviers permettant d’accroître l’efficacité des administrations publiques tout en réduisant leurs effectifs? Comment la rémunération des fonctionnaires français se compare-t-elle à celle des autres pays de l’OCDE ? Innovation, transparence, accès aux services publics, y compris en ligne: quels sont les atouts et les faiblesses de la France?

Cet atelier permettra de décrypter, sous embargo (jusqu’au jeudi 13 juillet à 11h00), les éléments clés, pour la France, de l’édition 2017 du Panorama des administrations publiques de l’OCDE et de comparer la situation française avec celle des autres pays avancés.

Avec Rolf Alter, Directeur de la gouvernance publique à l’OCDE

Guillaume Lafortune, économiste dans la division de la réforme du secteur public, OCDE

Cristina Mendes, analyste de politique dans la division de la réforme du secteur public, OCDE

Cet atelier sera animé par Emmanuel Cugny, chroniqueur à France Info et Président de l’Ajef

* Une légère collation sera offerte à partir de 12h15

Les places étant limitées, nous vous demandons de bien vouloir vous inscrire auprès de juliet.lawal@oecd.org(01 45 24 13 69) dans les meilleurs délais. 

Retrouvez tous les ateliers de l’OCDE ici.

14e édition du Prix de l’initiative européenne par la Maison de l’Europe de Paris, le 29 juin 2017

Fruit de la collaboration entre la Maison de l’Europe de Paris et le Club de la Presse Européenne, le 14e Prix de l’initiative européenne sera décerné le mardi 14 juin à la Maison de l’Europe de Paris.

 Ce prix est attribué chaque année à des journalistes ou à des médias qui se sont signalés par la qualité de leurs informations et de leurs commentaires sur l’Europe.

Le prix sera remis par Catherine Lalumière, présidente de la Maison de l’Europe de Paris et par Alberto Toscano, journaliste et écrivain italien, aux lauréats suivants:

Jacques Delors, ancien président de la Commission européenne, même si ses métiers sont bien différents de celui des journalistes ou des organes de presse, le jury a décidé de lui manifester sa reconnaissance en raison de l’importance du rôle qu’il a pu jouer en faveur de la communication européenne.

Olivier Breton, directeur de la publication de ParisBerlin, pour la manière dont les questions européennes sont traitées, à la fois claire, précise et vivante.

Enrico Letta, président de l’Institut Jacques Delors, Doyen de l’Ecole des Affaires internationales de Sciences Po Paris, ancien président du Conseil des ministres italien. Il sera récompensé pour le rôle important qu’il  joué en faveur d’une conception de l’Europe fondée sur des valeurs humanistes et démocratiques.

Inscription obligatoire, cliquez ici
Contact presse: Marine Moulin: m.moulin@paris-europe.eu, tél.: 0144618586

A la Maison de l’Europe, 29, avenue du Villiers, 75017 PARIS

L’OFCE évalue le programme présidentiel du 26 juin au 12 juillet

Après l’élection présidentielle, le débat continue !
L’OFCE évalue les principales mesures de politique économique du programme présidentiel pour mieux en préciser les enjeux économiques de court et de moyen terme, national et européen, pour les années à venir.

Le dispositif :

Du 26 juin au 12 juillet 2017, l’OFCE publiera des analyses sous forme de Policy Briefs ou de Posts de blog qui aborderont et étudieront par thèmes les principales mesures de politique économique proposées.

Le 12 juillet, La Conférence de presse de l’OFCE conclura cette première phase d’évaluation du programme présidentiel, les Chercheur-e-s de l’OFCE y présenteront une synthèse des évaluations.

Les sujets abordés sont :

• Fiscalité ménages :
Exonération de taxe habitation pour 80% des ménages
Prélèvement forfaitaire unique optionnel à 30% sur les revenus du capital
Suppression de l’ISF mobilier
Individualisation au choix de l’impôt sur le revenu sur les personnes
Report du prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu
Bascule cotisations sociales salariés/CSG

• Fiscalité entreprises :
Transformation du CICE en baisse de cotisations sociales employeurs et 0% charges au SMIC
Baisse de l’impôt sur les sociétés

• Emploi / Marché du travail :
Emplois francs
Exonération de cotisations sociales des heures supplémentaires
Contrôle des chômeurs et offre raisonnable d’emploi
Réforme marché du travail
Réforme de l’assurance chômage

• Dépenses publiques :
Plan d’économies de 60 Mds d’euros et bilan redistributif
Plan d’investissement (dont formation)

• Écologie / Transition énergétique :
Fiscalité écologique
Plan d’investissement pour la transition énergétique

• Bilan général :
Cadrage macroéconomique du quinquennat sur la base des évaluations et des modèles mobilisés à l’OFCE
Bilan redistributif

Chacune de ses mesures sera réévaluée si les contours en sont modifiés ou précisés, donnant lieu à une publication mise à jour.

En octobre 2017, le cadrage macroéconomique sera affiné dans la prévision d’automne de l’OFCE,

En novembre 2017, après le débat parlementaire du Projet de Loi de Finances 2017, une analyse macroéconomique et un impact redistributif des dispositions du PLF 2017 actualisera les analyses présentées le 12 juillet 2017.

Sylvie Le Golvan, Responsable de la communication :
sylvie.legolvan@ofce.sciences-po.fr

T/01 44 18 54 07 –  P/06 22 48 28 52